Analyse des cycles haussiers historiques du Bitcoin : tendances, pics et leçons pour 2025

Analyse des cycles haussiers historiques du Bitcoin : tendances, pics et leçons pour 2025 nov., 14 2025

Les cycles haussiers du Bitcoin ne sont pas des accidents

Le Bitcoin n’a jamais grimpé par hasard. Chaque fois qu’il a explosé en prix, c’était après un événement précis : le halving. Ce réduction moitié de la récompense des mineurs, qui arrive tous les quatre ans, crée une pénurie artificielle. Et l’histoire montre que la demande suit toujours. Depuis 2012, chaque halving a été suivi d’un cycle haussier majeur. Pas une exception. Pas un hasard. Juste une loi du marché.

Le premier cycle : 2013, quand les premiers croyants ont gagné des millions

En mai 2013, le Bitcoin valait à peine 145 dollars. Six mois plus tard, il atteignait 1 200 dollars. Une hausse de plus de 730 %. Ce n’était pas encore le monde des institutions. C’était des passionnés, des technophiles, et quelques investisseurs qui avaient entendu parler de la crise chypriote - où les banques ont gelé les comptes. Soudain, le Bitcoin n’était plus une curiosité : c’était une échappatoire. Les échanges comme Mt. Gox, qui géraient 70 % de toutes les transactions Bitcoin à l’époque, ont été submergés. Des gens ont transformé 1 000 dollars en 8 500 en quelques mois. Puis, en 2014, Mt. Gox a fait faillite. Le prix a chuté de 75 %, à moins de 300 dollars. Ce n’était pas la fin. C’était le premier apprentissage : quand le marché est jeune, la volatilité est féroce. Les gains sont énormes, mais les pertes aussi.

2017 : l’âge d’or des ICO et l’arrivée des petits investisseurs

En janvier 2017, le Bitcoin était à 1 000 dollars. En décembre, il dépassait 20 000 dollars. Une hausse de 1 900 %. Ce cycle a été alimenté par l’explosion des ICO - des levées de fonds pour de nouvelles cryptomonnaies. Ethereum, Ripple, Litecoin : tout le monde voulait sa part. Les plateformes comme Coinbase ont été inondées de nouveaux utilisateurs. Les avis sur Trustpilot ont flambé - 4,2/5 en moyenne, mais avec des milliers de plaintes sur les pannes. Pendant les pics, les serveurs tombaient. Les gens vendaient à la hâte ou achetaient en panique. Et quand le prix a chuté à 200 dollars en 2015, beaucoup ont perdu confiance. Mais ce cycle a changé la donne : pour la première fois, le Bitcoin était dans les médias grand public. Les gens ne parlaient plus de technologie : ils parlaient d’argent. Et ils ont appris une leçon dure : vendre trop tôt. Un utilisateur Reddit a écrit en janvier 2018 : « J’ai vendu à 12 000 dollars. Quelques jours plus tard, il était à 20 000. Le FOMO, c’est réel. »

2020-2021 : l’ère des institutions et la fin de la marginalité

Le 20 avril 2020, le halving a eu lieu. Le Bitcoin était à 8 000 dollars. Un an plus tard, il était à 69 000. Une hausse de 762 %. Mais cette fois, ce n’étaient pas des particuliers qui faisaient le marché. C’étaient des entreprises. Tesla a acheté 1,5 milliard de dollars de Bitcoin. MicroStrategy a investi des milliards. Grayscale a accumulé des centaines de milliers de BTC dans son fonds. Le marché a grandi : la capitalisation totale des cryptomonnaies est passée de 560 milliards en 2017 à 3 000 milliards en 2021. Et pourtant, la correction a été brutale. En novembre 2022, le Bitcoin est tombé à 15 476 dollars - une chute de 77,7 %. Ce n’était pas la fin. C’était la preuve que le marché avait grandi, mais pas encore mûri. Les gens avaient encore peur. Et ils vendaient encore trop tôt.

Scène de trading chaotique en 2021 avec des investisseurs et des graphiques explosifs en style comic book.

Le modèle des quatre phases : comment lire le cycle

Les experts comme Calen et Brown ont identifié un schéma récurrent : quatre phases. La première, l’accumulation, c’est quand le prix reste stable, bas, presque ignoré. Les volumes sont faibles. Les gens sont pessimistes. Ensuite vient la croissance : le prix monte lentement, puis plus vite. C’est souvent autour du halving. Les réserves sur les échanges baissent - les gens les gardent, pas les vendent. Puis arrive la bulle : le prix explose, les médias hurlent, le « Fear & Greed Index » passe en « Extreme Greed ». C’est le moment où tout le monde veut acheter. Et enfin, le crash : une chute de 78 à 80 % en quelques mois. Ce cycle se répète. Pas parce que les gens sont idiots. Mais parce que la psychologie humaine ne change pas. Même avec des ETF, des contrats dérivés, et des fonds institutionnels, les émotions restent les mêmes.

Le cycle de 2024 : différent, mais pas inédit

Le dernier halving a eu lieu le 20 avril 2024. Depuis, le Bitcoin est passé de 60 000 à 75 000 dollars en novembre 2025. Mais cette fois, c’est différent. Les ETF spot Bitcoin, approuvés aux États-Unis en janvier 2024, ont déjà accumulé plus de 850 000 BTC - soit 50 milliards de dollars. Les institutions ne spéculent plus : elles investissent. Le dominance du Bitcoin est remonté à 58 %, ce qui signifie que les capitaux quittent les altcoins pour revenir à la monnaie mère. C’est exactement ce qui s’est passé en 2021. Et les analystes de Standard Chartered prédisent un pic entre fin 2025 et début 2026, avec un objectif de 200 000 dollars. Ce n’est pas une prédiction magique. C’est une extrapolation : si les cycles précédents ont suivi une courbe de croissance, et que les fonds institutionnels sont maintenant bien plus puissants, alors la hausse pourrait être plus soutenue, plus longue, et plus profonde.

Comment ne pas se faire avoir ? Les 3 règles d’or

  • Ne regardez pas le prix tous les jours. Les cycles durent des années. Un mouvement de 10 % en une semaine est du bruit. Ce qui compte, c’est la tendance sur 6 à 12 mois.
  • Surveillez les indicateurs clés. Le taux de dominance du Bitcoin, les réserves sur les échanges, et le hash rate (puissance du réseau) sont des signaux fiables. Si les réserves baissent, les gens gardent. Si le hash rate monte, les mineurs croient encore au futur.
  • Ne tentez pas de toucher le top. Personne ne le fait. Même les plus grands traders ont vendu trop tôt. L’objectif n’est pas de maximiser - c’est de sécuriser. Prenez une partie de vos gains à chaque étape. Et laissez le reste courir.
Investisseur solitaire regardant un chemin de données vers 200K sous un ciel étoilé, style comic book.

Les pièges à éviter

Le plus grand piège, c’est la peur. Pendant la phase d’accumulation, tout le monde dit que le Bitcoin est mort. Pendant la bulle, tout le monde dit qu’il va à la lune. La vérité est entre les deux. Un autre piège : croire que cette fois, c’est différent. Non. La technologie a changé. Les acteurs ont changé. Mais la psychologie du marché, elle, reste inchangée. Les gens achètent quand tout le monde achète. Ils vendent quand tout le monde vend. Et c’est exactement ce qui fait les bulles et les krachs.

Que faire en 2025 ?

Si vous êtes déjà détenteur de Bitcoin : gardez. Ne vendez pas à la moindre baisse. Les cycles précédents ont montré que les corrections de 30 % sont normales - même en pleine hausse. Si vous n’en avez pas : commencez petit. Ne mettez pas tout d’un coup. Achetez chaque mois, même 10 euros. C’est ce qu’on appelle la stratégie du dollar-cost averaging. Et si vous voulez comprendre le marché en temps réel, suivez les indicateurs sur Bitbo Charts ou le Bitcoin Bull Run Index de Colin Talks Crypto. Mais ne suivez pas les influencers. Suivez les données.

Le futur est plus stable - mais pas moins risqué

Les cycles précédents ont été des sauvages. Celui-ci est plus structuré. Il y a des ETF, des fonds de pension, des banques qui proposent des produits Bitcoin. La réglementation est plus claire, surtout en Europe avec MiCA. Mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de risques. Une crise économique mondiale, un piratage majeur, ou une décision politique contre le Bitcoin pourraient tout faire chuter. Ce que la technologie a apporté, ce n’est pas la sécurité. C’est la résilience. Le Bitcoin a survécu à tout : la chute de Mt. Gox, les interdictions en Chine, les attaques des banques centrales. Il a survécu parce qu’il n’a pas besoin de personne pour exister. Et c’est ça, la vraie puissance.

Quels sont les quatre cycles haussiers du Bitcoin jusqu’à présent ?

Les quatre cycles haussiers ont été déclenchés par les halvings de 2012, 2016, 2020 et 2024. Le premier (2013) a vu le prix passer de 145 $ à 1 200 $. Le deuxième (2017) a atteint 20 000 $. Le troisième (2021) a culminé à 69 000 $. Le quatrième, en cours depuis avril 2024, est le premier à être guidé par des ETF institutionnels et une réglementation formelle.

Pourquoi le halving cause-t-il une hausse du prix ?

Le halving réduit de moitié la quantité de nouveaux Bitcoin créés tous les 10 minutes. Cela diminue l’offre nouvelle sur le marché. Si la demande reste constante ou augmente - ce qui est souvent le cas pendant les cycles - le prix monte par simple loi de l’offre et de la demande. C’est une pénurie programmée, et l’histoire montre qu’elle est efficace.

Est-ce que le Bitcoin va atteindre 200 000 $ en 2025 ?

C’est une possibilité réelle, mais pas une certitude. Des analystes comme Standard Chartered estiment que, si le cycle suit les tendances passées et que les ETF continuent d’accumuler, un pic à 200 000 $ est plausible entre fin 2025 et début 2026. Cela dépend de l’adoption institutionnelle, de la stabilité macroéconomique, et de la réglementation. Ce n’est pas une prédiction, mais une projection basée sur des données historiques.

Comment savoir si je suis dans une bulle ?

Regardez les signaux : si tout le monde en parle, si les médias parlent de « millionnaires Bitcoin », si les réseaux sociaux sont saturés de FOMO, et si l’indice « Fear & Greed » est en « Extreme Greed », vous êtes probablement dans la bulle. Ce n’est pas une erreur d’être dedans - mais c’est le moment de sécuriser une partie de vos gains. Personne ne peut prédire le top, mais tout le monde peut le reconnaître quand il est là.

Les ETF Bitcoin changent-ils vraiment la donne ?

Oui. Avant, les institutions devaient acheter du Bitcoin directement, ce qui était compliqué, risqué et peu régulé. Avec les ETF, elles peuvent investir comme pour une action : via leur courtier, sans gérer de clés privées. Cela a ouvert le marché à des milliards de dollars de capitaux traditionnels. Depuis janvier 2024, les ETF ont accumulé plus de 850 000 BTC - ce qui équivaut à plus de 7 % de l’offre totale. C’est une révolution.

16 Commentaires

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    Djamila Mati

    novembre 16, 2025 AT 09:15
    J'ai acheté mon premier BTC en 2017 à 800$ et j'ai vendu à 14k... J'ai encore les notifications de mon compte Coinbase qui m'envoient des alertes de vente. J'ai jamais regretté, mais j'ai jamais compris pourquoi je m'étais arrêté si tôt. Le Bitcoin, c'est comme une relation toxique : tu sais que tu devrais partir, mais tu reviens toujours.

    Et oui, les ETF, c'est une révolution. Mais ça change rien à la psychologie du marché. On est toujours aussi émotionnel.
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    Vianney Ramos Maldonado

    novembre 17, 2025 AT 22:59
    Il est intéressant de noter que tous les halvings ont été suivis d'une augmentation du prix... Mais n'est-ce pas là un biais de sélection ? Et si les cycles étaient simplement des artefacts statistiques, créés par des algorithmes de trading algorithmique qui détectent les dates de halving et manipulent artificiellement la liquidité ? Les banques centrales, via leurs filiales, contrôlent déjà les grands fonds. Ce n'est pas une pénurie. C'est une manipulation orchestrée.
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    Laurent Rouse

    novembre 19, 2025 AT 15:03
    Encore un gars qui croit que le Bitcoin va sauver l'humanité ? Tu sais ce qui s'est passé quand les gens ont cru que l'or allait tout sauver ? Les guerres. Les confiscations. Les banques ont toujours gagné. Et maintenant, avec les ETF, c'est encore pire : les banques ne font même plus semblant de ne pas contrôler le jeu. Tu penses que tu possèdes du Bitcoin ? Non. Tu possèdes un ticket de loterie émis par BlackRock. Et ils peuvent le retirer quand ils veulent.

    Je vais vendre tout ce que j'ai avant la fin de l'année. Pas parce que je pense qu'il va chuter. Mais parce que je sais qu'ils vont tout faire pour le faire chuter.
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    Denis Groffe

    novembre 20, 2025 AT 17:07
    Le halving c'est une théorie pas une loi. L'offre diminue mais la demande elle aussi peut baisser. Tu oublies que la majorité des BTC sont déjà en circulation. Les nouveaux venus dans les ETF ne créent pas de demande réelle. Ils déplacent juste des actifs. Et le hash rate ? Il monte parce que les mineurs sont subventionnés par l'État chinois ou par des fonds d'État. Ce n'est pas une preuve de santé. C'est une preuve de dépendance. Et la psychologie humaine ? Elle est la même oui. Mais elle est aussi plus manipulable. Les réseaux sociaux sont des machines à créer du FOMO. Tu crois que tu choisis. Tu réagis.
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    Jeremy Horn

    novembre 22, 2025 AT 13:43
    Je vais te dire ce que j'ai appris en 10 ans dans ce marché : personne ne connaît la réponse. Les analystes, les traders, les gourous, les mineurs... tout le monde fait des suppositions. Ce qui compte, c'est de rester calme. J'ai commencé avec 50€ par mois. Pas de stress. Pas de rage. Juste une petite dose chaque mois. Même quand tout le monde disait que c'était fini. Même quand j'ai perdu 40% en 2018. Même quand j'ai vu des gens vendre à 15k et pleurer parce qu'ils avaient raté 60k. Le Bitcoin, c'est comme une plante. Tu l'arroses, tu la laisses pousser. Tu ne la déterres pas tous les jours pour voir si les racines ont grandi. Et si tu veux comprendre vraiment, regarde les réserves sur les exchanges. Si elles baissent, c'est que les gens gardent. Et si les gens gardent, c'est qu'ils croient. Pas besoin de lire des livres. Regarde les données. Elles ne mentent pas.
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    jerome houix

    novembre 22, 2025 AT 23:22
    Je suis d'accord avec Jeremy. Le dollar-cost averaging, c'est la seule stratégie qui marche. J'ai commencé en 2020 avec 20€ par mois. Aujourd'hui, j'ai un peu plus de 1 BTC. Pas de stress. Pas de regrets. J'ai juste suivi le plan. Les gens cherchent des formules magiques. Mais la vraie magie, c'est la constance.
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    Aurelien Amsellem

    novembre 24, 2025 AT 05:42
    Tu parles de données. Mais tu oublies que les données sont truquées. Les échanges mentent sur les volumes. Les ETF ne montrent pas qui achète vraiment. Et les mineurs ? Ils sont tous en Chine ou au Kazakhstan. Le Bitcoin est une illusion de décentralisation. Tu crois que tu es libre ? Tu es juste un consommateur de marketing.
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    Lass Diaby

    novembre 24, 2025 AT 15:37
    Je viens du Mali et je suis un petit mineur. Je ne connais pas les ETF. Je connais les factures d'électricité. Quand le prix monte, je peux payer mes enfants à l'école. Quand il baisse, je vends ma machine. Le Bitcoin n'est pas pour les riches. Il est pour ceux qui veulent travailler. Je ne comprends pas pourquoi vous parlez de bulles. Pour nous, c'est une chance. Merci pour ce post.
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    Patrick Hochstenbach

    novembre 25, 2025 AT 13:18
    Petite correction : les ETF ont accumulé 850 000 BTC, mais ça représente environ 4,5 % de l'offre totale, pas 7 %. Le total supply est de 21 millions, donc 850k c'est ~4,05%. Sinon, je suis d'accord avec tout le reste. Le halving est un bon indicateur, mais il faut le voir dans le contexte macro. L'inflation, les taux d'intérêt... tout ça compte aussi. Et oui, le FOMO est réel. J'ai vendu à 58k en mai 2024... et j'ai regardé le prix grimper à 70k en juin. J'ai encore les sueurs froides.
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    Sophie Spillone

    novembre 27, 2025 AT 12:53
    Je vais être honnête : j'ai acheté du BTC en 2021 à 40k, j'ai tout vendu à 65k, j'ai pleuré, j'ai réacheté à 20k, j'ai tout vendu à 35k, j'ai pleuré, j'ai réacheté à 28k, et maintenant je le regarde monter en silence comme si c'était mon ex qui revenait après 3 ans. Je sais que je suis un cas désespéré. Mais j'aime trop ce truc. C'est la seule chose qui me fait me sentir vivante. Les gens disent que c'est de la spéculation. Moi, je dis que c'est de l'art. Et les artistes, ils sont toujours fous.
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    Nicole Flores

    novembre 28, 2025 AT 14:01
    Ah oui bien sûr. Le halving. Comme si c'était la seule raison. Et la Fed ? Les taux ? L'inflation ? Le dollar ? Tous ces trucs-là, c'est du décor. Le Bitcoin, c'est un phénomène purement technologique. Bien sûr. 😏
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    Nathalie Verhaeghe

    novembre 30, 2025 AT 09:02
    Je suis super contente de voir que le hash rate est toujours en hausse 💪 Cela montre que le réseau est solide. Et les réserves sur les exchanges qui baissent ? C'est exactement ce qu'on veut ! Cela signifie que les détenteurs ont confiance. 🙌 Je recommande vivement le Bitcoin Bull Run Index de Colin Talks Crypto - c'est une mine d'or pour comprendre les phases du cycle. Et surtout, ne regardez pas le prix tous les jours ! 😊
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    Danielle Kempf

    décembre 1, 2025 AT 15:24
    Je trouve inquiétant que vous encouragiez les gens à investir dans un actif non régulé, non garanti, et sujet à des manipulations massives. C'est une forme de prédateurisme financier. Vous parlez de « résilience » comme si c'était une vertu. Mais le Bitcoin ne protège personne. Il profite à ceux qui ont déjà les moyens de comprendre. Ce n'est pas une révolution. C'est une escroquerie sophistiquée.
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    Elise Barthalow

    décembre 3, 2025 AT 08:46
    Je ne sais pas si je vais acheter ou pas. Mais j'aime bien lire ce genre d'analyse. C'est comme un roman. Les gens changent, les technologies changent, mais les émotions... elles restent. J'ai juste envie de dire merci. Et peut-être que je vais commencer avec 10€ ce mois-ci. Juste pour voir. 🤷‍♀️
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    Sophie Wallner

    décembre 4, 2025 AT 09:27
    Tu parles de données. Mais tu oublies que les données sont créées par des humains. Et les humains, ils mentent. Tu crois que les ETF sont transparents ? Tu crois que BlackRock ne manipule pas les flux ? Tu es naïf.
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    Monique Wasserman

    décembre 5, 2025 AT 09:48
    L'analyse présentée ici, bien que syntaxiquement correcte, repose sur une fondation épistémologique faible. L'application de modèles historiques à des phénomènes non stationnaires, tels que les cycles de prix du Bitcoin, constitue une erreur de type I dans l'inférence statistique. L'absence de contraintes exogènes validées par un modèle de régression multivariée rend toute prédiction spéculative, et donc non scientifique.

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