Quand on parle de Hotbit Korea, une plateforme d’échange de cryptomonnaies associée à l’Asie, souvent confondue avec les grandes bourses coréennes comme Upbit. Elle n’est pas une filiale officielle d’Hotbit, mais une entité locale qui utilise le même nom pour profiter de sa réputation. Beaucoup pensent qu’elle est aussi solide qu’Upbit, la plus grande bourse de crypto en Corée du Sud — mais c’est une erreur. Upbit, une plateforme régulée par les autorités coréennes, avec des millions d’utilisateurs et des audits transparents, a été confrontée à plus de 500 000 violations KYC, selon une enquête récente. Ce n’est pas un détail mineur : ça montre que même les géants ont des failles. Et Hotbit Korea, une plateforme moins connue, sans transparence sur ses audits, ses équipes ou ses réserves, n’a aucun de ces garde-fous.
La Corée du Sud est un marché unique : les gens y investissent massivement, mais ils sont aussi très exigeants sur la sécurité. Si une bourse ne répond pas aux normes de la FSC (Financial Services Commission), elle disparaît vite. Hotbit Korea n’apparaît pas dans les listes officielles des exchanges agréés. Ce n’est pas un hasard. Les utilisateurs qui y déposent des fonds prennent un risque énorme — surtout quand on voit que des projets comme BXTEN ou Tidex, eux aussi peu vérifiés, sont déjà considérés comme dangereux ici. Régulation crypto Corée, un cadre strict qui pénalise les plateformes non conformes fait fuir les acteurs malhonnêtes. Mais certains continuent à jouer sur les mots, en utilisant des noms similaires à ceux des bourses légitimes pour tromper les nouveaux venus.
Vous cherchez une bourse fiable en Corée ? Regardez du côté d’Upbit, Bithumb ou Korbit. Elles sont régulées, auditées, et ont des systèmes de sécurité réels. Hotbit Korea, elle, n’a rien de tout ça. Pas de support client sérieux, pas de preuve de liquidité, pas même une équipe publique. C’est un terrain miné pour qui veut trader en toute sécurité. Ce que vous trouverez ici, c’est une collection d’articles qui démontent les pièges de ces plateformes obscures — des arnaques comme BABYDB, des projets morts comme Bitstar, des airdrops trompeurs comme VelasPad. Tous ont un point commun : ils se cachent derrière des noms qui font peur ou qui ressemblent à des noms connus. Hotbit Korea en est un autre exemple. Ne vous laissez pas berner. Ce que vous allez lire, c’est la vérité derrière les façades.
BitClover, anciennement Hotbit Korea, n'est pas régulé en Corée. Malgré ses fonctionnalités attrayantes, elle présente des risques élevés : retraits bloqués, absence de protection légale, et volumes non vérifiés. Évitez-la au profit d'échanges légaux comme Upbit ou Bithumb.
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