Interdiction des cryptomonnaies : quels pays les bannissent et pourquoi ça change tout

Quand on parle d’interdiction des cryptomonnaies, une mesure légale prise par un État pour bloquer l’usage, l’échange ou la détention de crypto-actifs. Also known as bannissement des actifs numériques, it affects millions of users who rely on decentralized finance for savings, remittances, or business. Ce n’est pas une simple règle technique — c’est un choix politique qui redéfinit qui a le contrôle de l’argent.

La Banque centrale d’Égypte, l’institution qui gère la monnaie et la politique financière en Égypte a interdit les cryptomonnaies en 2018 via une fatwa religieuse, puis en 2020 avec la loi 194/2020. Pas parce que la technologie est dangereuse, mais parce qu’elle échappe à son monopole. Les Égyptiens peuvent toujours utiliser la blockchain pour des contrats ou des enregistrements, mais pas acheter du Bitcoin ou envoyer de l’ETH. C’est un double jeu : autoriser la technologie, interdire l’argent. Et ça, c’est typique de plusieurs pays en voie de développement où la crainte du contrôle perdu prime sur l’innovation.

En Europe, c’est différent. La MiCA, le cadre réglementaire de l’Union européenne pour les actifs crypto n’interdit rien — il oblige. Les plateformes doivent être autorisées, les stablecoins doivent être garantis, les projets doivent dévoiler leur équipe. L’objectif ? Protéger les consommateurs, pas les banques. L’échéance du 30 décembre 2024 force les exchanges à se conformer ou disparaître. Ce n’est pas une interdiction, mais une réforme qui tue les projets sans transparence. Ceux qui survivront seront ceux qui ont déjà joué honnêtement.

Le vrai enjeu, ce n’est pas de savoir si les cryptomonnaies sont légales ou non — c’est de comprendre pourquoi certains pays les interdisent. Dans les pays où les banques sont corrompues ou inefficaces, les gens utilisent le Bitcoin pour sauver leur épargne. Dans les pays où les gouvernements veulent contrôler chaque euro, les cryptos deviennent une menace. Ce n’est pas une question de technologie. C’est une question de pouvoir.

Sur CryptoDébrief 45, on a analysé ces cas un par un : l’Égypte, la Russie, le Pakistan, le Canada… Chaque pays a sa propre logique. Certains bloquent les retraits crypto-vers-fiat. D’autres obligent les exchanges à enregistrer leurs clients. Certains permettent les stablecoins mais interdisent les altcoins. Ce que vous trouverez ici, ce ne sont pas des articles abstraits. Ce sont des dossiers concrets, avec des dates, des lois, des noms de banques, et des alertes pour éviter les pièges. Si vous vivez dans un pays où les règles changent vite, vous avez besoin de savoir ce qui est interdit — et ce qui peut encore vous sauver la vie financière.

  • oct., 28 2025
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Interdiction totale des cryptomonnaies par la Banque centrale du Koweït

Le Koweït a interdit complètement les cryptomonnaies, de l'investissement au minage, en passant par les paiements. Une des réglementations les plus strictes au monde, soutenue par plusieurs agences gouvernementales et appliquée avec fermeté.

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